
Martine
DEPRADE PASCAL


En 2004, Martine DEPRADE PASCAL et son époux Alain, qui travaille en lien étroit avec les entreprises au sein de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Vaucluse, s’installent à Saint-Rémy. Et si elle reçoit une proposition pour exercer en tant qu’infirmière à l’hôpital d’Avignon, elle privilégie celui de Tarascon-Beaucaire autant pour des raisons familiales que professionnelles. Car, avec son cœur gros comme ça, elle a besoin d’être auprès des personnes isolées, le plus souvent âgées. En poste dans le service long séjour, elle obtient même un diplôme universitaire sur la prise en charge de la douleur chez la personne âgée, ce qui la conduit notamment à organiser des animations et dispenser des formations à la Croix-Rouge et dans les écoles d’infirmières.
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Désormais à la retraite, Martine DEPRADE PASCAL continue d’être active : élue d’opposition depuis 2014, elle siège au conseil d’administration du Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) et devient membre des commissions :
« Handicap », « Tourisme », « Domaine public », « Économie et Finances » et « Impôts ». Fière de défendre les couleurs de la Saint-Eloi avec son mari, on les retrouve également adhérents de la Saint-Roch, de la Cour des Arts, du Lions Club Saint-Rémy Alpilles, pour la Restauration de la Collégiale Saint-Martin… Sans oublier, bien évidemment, l’Entraide Solidarité 3, un club de loisirs pour tous les plus de 55 ans qui comptait plus de 500 membres en 2019, dont elle est l’une des chevilles ouvrières bénévoles.
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« M’engager en politique à l’échelon local, c’est apporter ma pierre à l’édifice pour assurer une offre de service et de solidarité à destination de tous les Saint-Rémois, notamment les anciens et les publics les plus fragiles. Il m’arrive régulièrement d’accompagner les adhérents de l’ES13 pour une consultation médicale ou un examen de santé », insiste Martine DEPRADE PASCAL, attristée que la crise du Covid-19 ne fasse qu’accentuer les inégalités et renforcer l’isolement des personnes à la santé et au revenu précaires. « Pendant le confinement du printemps 2020, j’ai pris des nouvelles de mes adhérents. J’ai également cousu beaucoup de masques, que nous avons distribués en porte-à-porte, et participé aux courses solidaires… » Plus que jamais conscient de ces problématiques, le Renouveau Saint-Rémois inclura des mesures fortes dans son projet afin d’aider les plus démunis.